Un automne humide

Après la sécheresse de cet été, l'eau est revenue inondant les prés dans la plaine du Val Gelon

 

Petit matin

Le ciel se teinte de rose.
 

Fleur de frêne commun

On dirait une étoile de dentelle cette fleur de frêne. Elle peut ou non être hermaphrodite. Plus tard elle se transformera en fruits à une graine, réunis en grappe pendante.
Si j'y pense, je les photographierai en automne.

Le cognassier est en fleurs

Si les Saints de glace ne lui portent pas tort, le cognassier du jardin nous promet une belle récolte de fruits pour gelées et pâtes de coing.

Le mélèze, un arbre à suivre

 Fin mars, notre mélèze dévoile ses premières fleurs. Les roses ( femelles) qui seront les cones prochains, et les jaunes ( mâles) dirigées vers le bas qui donnent le pollen.
J'y reviendrai car les fleurs dans quelques temps seront encore plus belles, plus formées, plus colorées.

Prendre de la hauteur

 Mardi 6 août midi, nous fêtons l'anniversaire d'un cousin au petit Mont-Cenis. Le soleil n'est pas de la fête, la randonnée n'est pas au programme, je prends quelques photos malgré tout.

Comme cet aigle et ces petits oiseaux.

Pluie de pétales et vent de pollen

Deux phénomènes liés à la saison et à la météo.
Un vent léger secoue les branches de merisier, fait tomber les pétales comme une neige de printemps et dans la montagne en face, les épicéas répandent leur pollen en un brouillard mouvant.

Les opportunistes

Que ce soit les sapineaux, la cône d'épicéa ou les plumes, c'est comme si le sol les avait effrayés pour ne pas s'y poser ou prendre racine.

Il y a bois et bois !

Pour en finir de ces jours gris !

 Petit délire d'un dimanche soir, j'ai superposé ces trois photos pour réaliser la grande.

Un air de Louisiane

L'an dernier, Monique et Jean-Pierre , à travers leurs photos nous avaient fait découvrir ce lieu enchanteur.
Cette année, David et José m'y ont emmenée.
Christophe, Michel et Sophie y sont allés après nous, rdv sur leurs pages Flickr.

Pas très loin de chez nous, dans le Nord-Isère sur la commune de Courtenay, il existe un étang où le propriétaire a insufflé un air de Louisianne en plantant des cyprès chauves.
Le feuillage roux des arbres dont les pieds sont dans l'eau produit de magnifiques reflets.
Le chemin ne fait pas le tour, ce qui est peut-être aussi bien, laissant une aire de tranquillité aux oiseaux d'eau et autres animaux.

 Pas très commode de s'approcher de l'eau, on met plus de temps à retirer un seul pied que de poser le second.
Nous avons très vite compris qu'il valait mieux rester sur le chemin.

Quant aux racines aériennes, elles sont surprenantes, tout autour de l'arbre, elles ressortent comme d'étranges moignons, renseignement pris, merci Wikipédia, les pneumatophores ont deux fonctions, assurer les échanges gazeux et stabiliser l'arbre

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 Le palais des reflets, là, les admirateurs se pressent, par bonheur, nous y étions un jeudi, je pense que les jours de week-end doivent être à éviter si on aime le calme.

 Et pour finir, le sourire de José, aussi radieux que les fins rameaux des arbres, aussi ensoleillé que cette belle journée.